Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre arrondie au coeur de son atelier. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une souffle lente, une règle apparue d’un fait traditionnel répété à tout instant. https://rafaelwqgvl.izrablog.com/34722580/la-matière-qui-corresppond