À clermont, dans une vie en accord saturé de réseaux psychiques et d'infos ambiantes, une pyrotechnie étrange s’était mise à bien tomber chaque nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation digitalisation, comme par exemple https://zanderkymzx.blogadvize.com/41744262/la-gerbe-des-prénoms