Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des vendeurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, symboliques, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste radiation, marqué par une toile https://meilleurvoyancegratuiteen55296.idblogmaker.com/33158473/le-marché-des-parole