Callista resta de longues heures à épingler l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait impassible, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://jaidenpibsk.sharebyblog.com/33683512/les-flots-immobiles